La famine est un crime, pas un accident
Ce qui se passe à Gaza n’est pas un “échec humanitaire”… c’est un crime défini par la loi
La famine délibérée des civils n’est pas un sous-produit malheureux du conflit — elle est utilisée comme une arme de guerre. Les familles sont privées d’accès à la nourriture, à l’eau et aux médicaments. Les hôpitaux sont débordés ou détruits. Les patients atteints de maladies chroniques, de cancer et d’insuffisance rénale sont confrontés à des conditions mettant leur vie en danger en raison du manque de traitement.
Le droit international est clair : bloquer la nourriture, entraver l’aide humanitaire et laisser les civils mourir de faim constitue un crime de guerre. Ces actions sont explicitement interdites par la Quatrième Convention de Genève et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.
La communauté internationale doit agir d’urgence pour garantir que l’aide parvienne aux personnes dans le besoin et que les responsables de ces violations soient tenus pour responsables. Les civils ne doivent jamais être utilisés comme des pions ou punis collectivement pour les actions d’autrui.